Mieux vivre, mieux consommer, mieux manger : telles sont en effet les préoccupations partagées par de nombreux Français, qui ont donné naissance à un mode de vie actuel, le flexitarisme.

Finalement, le flexitarien est l’omnivore du XXIe siècle, un consommateur éclairé, qui mange de tout : des aliments d’origine animale aussi bien que végétale. Libre de choisir son alimentation, il mange en conscience, c’est-à-dire en quantité raisonnée et privilégie autant le plaisir que la qualité, mais aussi l’équilibre et la variété, le local et la durabilité.

Conscients de ces enjeux et déjà fortement engagés dans la production d’une viande de qualité, les professionnels de la filière Elevage et Viande française affirment que cette dernière a toute sa place dans une alimentation durable, si elle est consommée en juste quantité.

 

C’est la raison pour laquelle ils ont lancé, après plus d’un an de travaux de réflexion et de concertation, un véritable mouvement collectif, prônant les valeurs d’une filière responsable et en démarche de progrès. Pour porter ce mouvement, un slogan : « Aimez la viande, Mangez-en mieux. », que vient soutenir la signature « Naturellement flexitariens ».

 

L’objectif de cette campagne ? Initier un dialogue sincère avec les consommateurs et leur montrer en quoi la filière Elevage et Viande a un rôle central à jouer pour mieux nourrir les Français dans le respect de la planète et du vivant : des Français qui sont « Naturellement flexitariens ».

 

Des éleveurs aux consommateurs, nous pouvons tous avoir un impact positif sur le terroir comme sur notre santé, en mangeant la juste quantité d’une viande de qualité. Une conviction portée par la filière Elevage et Viande française à travers ce film publicitaire :

 

Aimez la viande, mangez-en mieux !

 

En vous rendant sur le site Internet « Naturellement-flexitariens.fr », vous pourrez trouver les preuves des engagements de la filière Elevage et Viande en matière de production responsable et durable. Au menu : des portraits de professionnels, des reportages, mais aussi des infographies pour mieux consommer ou encore des recettes flexitariennes… Des experts d’horizons différents donnent également leur point de vue et réagissent sur les nouvelles attentes sociétales en matière d’alimentation (médecin nutritionniste, politologue, philosophe, sociologue de l’alimentation, chef, sportif…).

 

www.naturellement-flexitariens.fr

 

 

Viande d’agneau : réussir sa cuisson à tous les coups !

 

Dans l’ensemble, à part le collier et la poitrine, qui se prêtent plus aux cuissons mijotées, les morceaux d’agneau, naturellement tendres, cuisent simplement et rapidement.

 

Pour qu’elle soit au maximum de sa tendreté, il ne faut pas cuire la viande d’agneau dès sa sortie du réfrigérateur, mais la laisser reposer à température ambiante pour qu’elle ne subisse pas un trop fort écart de température à la cuisson.


Et pour lui assurer tendreté et saveur, pensez à la laisser reposer après cuisson : elle se détend et ses sucs l’irriguent uniformément. Pour les petites pièces grillées, le temps de repos, sous une feuille de papier aluminium, doit être égal au temps de cuisson ; pour les plus grosses, comme le gigot ou l’épaule, une quinzaine de minutes suffisent, en les retournant une fois, pour que la viande soit d’une belle couleur uniforme.

 

À CHAQUE MORCEAU SA CUISSON…

Qu’elle soit grillée, poêlée ou rôtie, la viande d’agneau se déguste rosée ou tout au plus à point. Trop cuite, elle risque de se dessécher et perdre sa finesse.

 

 

…ET À CHAQUE CUISSON SON MOT !

  • Saignante : la croûte est mince, dorée et bien chaude, l’intérieur est chaud et rose foncé et la structure des fibres est à peine altérée.    
  • Rosée : la croûte est dorée, l’intérieur est très rosé à cœur avec une zone entre les deux un peu plus beige et les fibres sont légèrement contractées.
  • À point : la croûte est bien formée et dorée, l’intérieur est rosé et les fibres sont rétractées.
  • Bien cuite : la croûte est épaisse, l’intérieur est cuit en totalité et uniformément, les fibres sont rétractées, la viande est donc plus sèche et manque un peu de jutosité.

 

 

Découvrez la viande de chevreau !

 

Le chevreau est une viande tendre, au goût très fin, et très facile à cuisiner ! Si certains préfèrent le déguster en hiver, d’autres le trouvent succulent au printemps… et pourquoi pas en grillades l’été !

 

Vérifiez le par vous-même en concoctant cette recette simple de sauté de chevreau aux noix de cajou et aux 5 parfums… dépaysement garanti !

 

 

Sauté de chevreau aux noix de cajou et aux 5 parfums

Préparation : 20 minutes

Cuisson : 5 à 7 minutes

 

Pour 4 personnes

2 épaules de chevreau ou 2 gigots

8 gousses d’ail

3/4 d’1 gros bouquet de coriandre

300 g de noix de cajou salées

3 c. à soupe de miel

1 c. à soupe bombée de 5 parfums

8 c. à soupe de sauce soja à faible teneur en sel (bouchon vert)

4 c. à soupe de sauce tériyaki

3 c. à soupe d’huile de tournesol

Sauce à la coriandre : 1/4 d’1 gros bouquet de coriandre, 4 c. à soupe de sauce soja, 4 c. à soupe d’huile de sésame

Préparation

Désosser les épaules et les couper en cubes, peler l’ail et le hacher, ciseler les feuilles de coriandre.

Chauffer une poêle avec l’huile, colorer les cubes de chevreau avec l’ail, 3 à 4 minutes à feu vif, ajouter les noix de cajou et le miel, laisser caraméliser et verser les sauces soja et teryiaki, mélanger, poursuivre la cuisson 2 à 3 minutes à feu modéré et, hors du feu ajouter les trois quarts de la coriandre.

Préparer la sauce à la coriandre : mélanger la sauce soja, l’huile de sésame et le reste de la coriandre.

Servir le sauté de chevreau accompagné d’un riz blanc et de la sauce à la coriandre.

 

Pour être plus festif : ajouter des pistaches et des amandes concassées.

Astuce du Chef : remplacer les noix de cajou par 1 gros bouquet de basilic asiatique ciselé.

Conseil du sommelier : une bière asiatique.

 

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.